REVUE DE PRESSE

Thierry Marlat, the Parisian gallerist who has succeeded in collecting some of America’s greatest photographers, including spectacular examples by Edward and Robert Mapplethorpe, Edward Weston, William Eggleston and Lee Friedlander.
Sotheby's

Assumant aussi complètement son statut de marchand d'art, il essaie de promouvoir une conception très personnelle des relations avec les collectionneurs, fondée sur la proximité, la confiance et la réciprocité.
Camera Lucida

Marlat, qui est l'un des galeristes les plus talentueux de Paris, et de très loin, a toujours eu une place à part.
LE FIGARO MADAME
Jean-Sébastien Stehli

Une splendide lecture alternative d'Irving Penn (...) Belle leçon de synchronisme émotionnelle et picturale.
Micalu's Blog
SOTHEBY'S, May 2016
A chapter is dedicated to Thierry Marlat, the Parisian gallerist who has succeeded in collecting some of America’s greatest photographers, including spectacular examples by Edward and Robert Mapplethorpe, Edward Weston, William Eggleston and Lee Friedlander.
ACTUPHOTO, 2015

CAMERA LUCIDA, Entretiens photographiques, décembre 2011

Le 1er décembre 2011
Tout en retraçant son parcours personnel, Thierry Marlat nous donne à voir ce qu'a dû être le métier de galeriste photo dans les années 80, alors que personne ne s'intéressait vraiment encore à ce marché pas plus qu'on considérait cette pratique comme un art, sauf parfois pour la photographie du XIXème siècle ou de l'entre-deux guerres. Ce sont pourtant bien les travaux photographiques modernes et artistiques qui l'intéressent, comme il le réaffirme ici, d'abord avec Penn, Mapplethorpe, Newton, Sujimoto puis avec beaucoup d'autres.
Si on imagine souvent le travail de galeriste comme un travail de gestion des artistes et de leurs tirages, M. Marlat a une idée très particulière de son métier, essayant de défendre librement des œuvres plutôt que de gérer des individus. Assumant aussi complètement son statut de marchand d'art, il essaie de promouvoir une conception très personnelle des relations avec les collectionneurs, fondée sur la proximité, la confiance et la réciprocité.
A une époque où le marché n'existait pas, il explique en effet comment il a fallu le mettre au monde, notamment en rassurant les collectionneurs d'art habituels ; cela est notamment passé par la création d'une rareté (notion de vintage) et d'une histoire de la photographie. Pourtant, on observe aujourd'hui un déclin de ces valeurs de rareté et d'historicité au profit de critères plus esthétiques, particulièrement parce qu'il est devenu extrêmement difficile de conserver et de garantir le statut unique d'une œuvre photographique.
Il explique enfin la distinction qu'il opère entre photographes destinés plutôt au mur et photographes qui sont faits pour la presse et le support livre, sans que cette distinction n'entraîne aucune hiérarchie.
Merci à M. Marlat
Photographies réalisées par Louis Boulet et Anna de Pontbriand Vieira à sa galerie
MICALU's BLOG, décembre 2011

L'EXPRESS, décembre 2010


LE POINT, décembre 2010


LE FIGARO MADAME, octobre 2009

A Paris, un homme connaissait Irving Penn sans doute mieux que quiconque: le galeriste Thierry Marlat. Le galeriste d'irving Penn. L'histoire de la rencontre entre Penn et Thierry Marlat est étonnante, empreinte, comme tout ce que fait Marlat, de mystère et de magie. "La toute première photo que j'ai achetée est un tirage d'Irving Penn. Un tirage platine de trois pavots. C'était en 1991 chez Sotheby's. Puis, je l'ai vendue," raconte Marlat, "mais, quelques années plus tard, je l'ai rachetée, exactement la même."
C'est Pierre Apraxine, à l'époque conservateur de la collection Gilman, qui a été chargé par Penn de contacter Thierry Marlat, en 2000. "Je suis donc parti à New York pour rencontrer le photographe. J'avais un billet en économie, mais au moment d'embarquer, j'ai été surclassé en business class. Je m'installe et je me rends compte que je voyage avec Richard Avedon!"
"Lorsque je suis arrivé chez Penn, j'ai vu ce petit bonhomme habillé en chirurgien. Il appelait son studio la "clinique". Il était très méticuleux. Tout le monde était en blouse avec un bonnet de chirurgien sur la tête. On a pris le petit déjeuner ensemble. Nous avons parlé de Paris, de la vie parisienne qu'il avait adorée; il m'a demandé des nouvelles de l'hôtel de la Reine, place des Vosges, où il avait habité; nous avons parlé de tout et de rien. Penn avait aimé les choix que j'avais fait lorsque j'organisais des expositions. A la fin, il m'a demandé si je pouvais le représenter à Paris."
Thierry Marlat organise la première exposition de Penn à Paris. Huit personnes se sont déplacées le jour du vernissage. Heureusement, en huit jour, tout est vendu.
Marlat, qui est l'un des galeristes les plus talentueux de Paris, et de très loin, a toujours eu une place à part. Ses expositions, souvent remarquables, sont régulièrement ignorées par les critiques. C'est un des mystères de l'univers. Comment faire l'impasse sur cette galerie lorsque l'on s'intéresse à la photographie? Et, dans le même temps, Irving Penn, lui, sait ce que fait ce jeune passionné d'art, sait quel tirages sont exposés, lesquels sont vendus, alors qu'il n'a pas encore rencontré son futur galeriste. "Ca, c'est un homme," lance Marlat, devenu le marchand de cet immense artiste.
"Penn a pu passer de la mode à l'ethnographie, au portrait, à la nature morte, toujours en sachant dominer l'art du portrait et avec cette lumière qui lui est propre."
"Il y avait beaucoup d'amour dans son travail," explique Thierry Marlat. "D'ailleurs l'exposition que nous inaugurons le 15 octobre, s'intitule Banquet. Le banquet, c'est la réunion autour d'une table de gens qui partagent, qui s'aiment. Et c'est ce qu'a fait Penn: il est venu me chercher. C'est ça le partage."
Routard.com, 2009

FRANCE CULTURE, 2009, à l'occasion de l'exposition IRLANDE 69

GRALON, 2009

La Voix de Jeanne, 2008

Magazine GQ, septembre 2008

Magazine ARTaujourd'hui, 2002
